La vigne, le vin, le bio et la biodynamie
Selon Evelyne Malnic, c’est parce que la situation est réellement catastrophique pour la vigne, nos sols, la planète et le climat qu’il ne faut pas perdre espoir et qu’il faut agir. Ainsi, elle écrit :
« La situation est grave, elle n’est pas désespérée.
De tout temps, la vigne cultivée a été soumise à de grands bouleversements climatiques, des maladies, et contrainte d’évoluer pour subsister. Obligeant à repenser sans cesse la viticulture telle qu’on la pratique depuis plus d’un siècle.
La course contre la montre est engagée. Face à la catastrophe annoncée, à l'urgence, il ne faut pas seulement limiter la casse. Mais aller au-delà, réinventer l’agriculture, l'arracher à ses impasses, renouveler ses pratiques. Réécrire le récit de la viticulture. Réparer et repartir.
La solution existe, je l'ai rencontrée. Elle se nomme viticulture bio - biologique et biodynamique.
Une viticulture qui exclue l’utilisation des pesticides de synthèse et prône la fertilisation naturelle des sols. »
Selon Evelyne Malnic, c’est parce que la situation est réellement catastrophique pour la vigne, nos sols, la planète et le climat qu’il ne faut pas perdre espoir et qu’il faut agir. Ainsi, elle écrit :
« La situation est grave, elle n’est pas désespérée.
De tout temps, la vigne cultivée a été soumise à de grands bouleversements climatiques, des maladies, et contrainte d’évoluer pour subsister. Obligeant à repenser sans cesse la viticulture telle qu’on la pratique depuis plus d’un siècle.
La course contre la montre est engagée. Face à la catastrophe annoncée, à l'urgence, il ne faut pas seulement limiter la casse. Mais aller au-delà, réinventer l’agriculture, l'arracher à ses impasses, renouveler ses pratiques. Réécrire le récit de la viticulture. Réparer et repartir.
La solution existe, je l'ai rencontrée. Elle se nomme viticulture bio - biologique et biodynamique.
Une viticulture qui exclue l’utilisation des pesticides de synthèse et prône la fertilisation naturelle des sols. »